Le studio de Raphaëlle Mondoux

En arrivant chez elle, un grand studio chaleureux, elle se dépêcha d’enlever son manteau et de le placer sur un crochet où elle y lança ses clés aussi. La Toréador s’étira doucement en marchant. Les murs, rouges Bordeaux et orange foncé, étaient couverts de tableaux et de fresques. C’étaient seulement ses meilleurs car elle vendait ceux qu’elle trouvait moins beau.

Proche de la porte qui menait au balcon se trouvait tout son matériel de peinture avec un tableau commencé. Il y avait des lignes rouges et noires abstraites seulement. Elle avait une petite cuisine très bien décorée avec une petite table ronde en verre. Le salon consistait d’une télévision et d’un divan et plusieurs bibliothèques pleines à craquer.

Sa chambre était entourée de plusieurs voiles qui tombaient du plafond pour une petit peu plus d’intimité, quoique rare sont les personnes qui mettaient le pied dans son appartement. La femme se coucha donc sur son lit et commença un lire un vieux roman cul-cul et ennuyant sur les vampires : Twilight.

Quelqu'un frappa à la porte... il étais presque l'heure d'aller se coucher... dans une heure le soleil allait se lever.
Une légère tempête de neige se levais à l'extérieur. Levant le nez de son livre, elle entendit Alessandro l'appeler par son nom de l'autre côter de la porte d'entré. Léger mais audible. Il cogna de nouveau à la porte semblant s'impatienter... et ça ne faisait que quelques secondes qu'il était là.
Pas connu comme étant un grand patient le Sir.

- Je vais congelé dehors... je vais mourrir, vite viens m'ouvrir. Sinon t'auras ma mort sur ta conscience, mort par congélation... c'est pas bon pour mon teint d'ivoire ça ! Je vais virer au bleu... oh, non, non, non... je vais ressembler à un... truc bleu et mort. Viiiite, Raphaëlle. se plaignait-il.

La Toréador leva ses lunettes de lecture sur son front avant de les metre sur sa table de nuit. Elle se leva d’un bond…comme son cœur bondissait dans sa poitrine. C’était son maître…et même si elle lui en voulait pour cette morsure, elle l’aimait pareille. Raphaëlle traversa le studio à grandes enjambées avant d’ouvrir la porte.

Le vent c’était levé derrière Alessandro, donc elle comprenait cette soudaine folie et impatience.

-Alessandro…Regarde, tu n’es pas mort, murmura-t-elle de sa voix crystalline. Ça va bien? Tu as l’air tendu.

Elle recula pour lui laisser l’espace nécessaire pour enlever son manteau en lui adressant un jolie sourire.

Il hocha énergiquement la tête juste avant de répondre à son infant.

- Oui, ca va. Petit test surprise !! dit-il en entrant complètement et en enlevant son manteau d'un geste fluide et gracieux.

Alessandro s'accouda contre le mur aprèes avoir refermé la porte derrière lui. Le vent froid de l'extérieur arrêta dès lors d'entrer dans l'appartement de la jeune Toréador. Il darda son regard sur toute la pièce, inspectant soigneusement mais rapidement l'appartement. Une lueur un peu inquiète sembla passer dans ses yeux... mais sa non-chalance habituel repris le dessus presque aussitôt. Un sourire des plus dévastateur se tourna vers Raphaëlle.

- Combien y a-t-il de traditions dans la Camarilla et nomme-les moi ! s'exclama-t-il.

Alessandro avait pour habitude d'arriver toujours à l'improviste et de poser des questions à son infant pour savoir si elle l'écoutait durant son apprentissage et si elle retenais bien les points important de sa vie de vampire ! Elle connaissait l'essentiel... pour ce qui est des points plus méticuleux, fallait voir... Mais Alessandro lui disait sans cesse que pour une jeunette ; ses talents de vampire était phénoménale pour son jeune âge ! Comme lui quand il était un néonate. Fier d'elle, il ne le cachais jamais quand il parlais d'elle devant les autres membres Toréador. Il se gardais une réserve cependant concernant ceux qui n'était pas du clan... our ne pas attirer la convoitise sur son infant. Mais Alessandro lui avais promis que le Prince désirais discuter avec elle bientôt, et peut-être lui apprendre un ou deux secret bien à lui pour signifier sa fierté quant à une élève aussi doué pour les Disciplines du Clan.
... Peut-être voyait t'elle cela comme une bénédiction mais... la pression était présente, on ne peut le cacher !

Raphaëlle fût surprise de ce soudain test. Elle recula d’un pas en souriant d’un air presque diabolique mais tressailli en voyant son sourire angélique…trop angélique. La Toréador ne s’attendait pas à un quiz, mais sa mémoire extrêmement efficace lui permettait de garder plus d’information sur une longue période de temps.

- Il y en a six, répondit-elle. La Mascarade, le Domaine, la Descendance, la Responsabilité et …l’Hospitalité…puis la Destruction.

Elle lui lança un regard de gagnante et un sourire couvrit son visage pâle. La Toréador se déplaça vers la cuisine et se souvint qu’elle devait bientôt jeter toute la nourriture de son frigidaire, sinon elle moisirait.

-Alors, que me vaut l’honneur de ta visite? demanda-t-elle en s’adossant au comptoir.

Il fit des gestes vagues des mains... ne voulant rien dire de précis, en tout cas... plus comme des simagrés faites avec des mains à l'apprence aussi douce que de la soie.
Il fit quelques pas dans l'appartement de la jeune fille, lui fit signe de se taire, et jetta un coup d'oeil dans toute les pièces avant de revenir vers Raphaëlle et se plaquer les mains sur les hanches de la vampire, collant son corps d'albâtre contre le sien. Ses yeux brillèrent, un sourire étira ses lèvres... dont celle-ci vint déposer un baiser juste à la comissure des lèvres de son infant.

- Un petit service. souffla-t-il à voix basse d'une voix séduisante.

Il entraîna Raphaëlle dans un pas de danse qu'elle dut se laisser guider car elle avais l'impression que son mentor l'avais entraîner en célérité, la faisant tourner et quand elle revint face à lui, il glissa un CD dans sa main.

- Garde ça pour moi pendant un moment veux-tu... Le Prince viens chez moi demain avec le Shériff, et ils ne doivent pas trouver ça. Alors, s'il te plait, cache-le bien, d'accord ? dit-il avec son insouciance habituel.

Il mit son manteau, lançant un sourire dévastateur et s'approcha de nouveau d'elle. Il l'embrassa avec douceur et une petite once de défi, ses lèvres étaient franchement glacé... ils devaient être dehors depuis un moment après tout. Glissant son doigt le long de la machoire de Raphaëlle, il lui dit :

- Promis, je reviens chercher ce truc dans 2 nuits. Merci, tu es un amour, chérie.

Il lui avais pas vraiment laisser le temps de répondre ou de placer un mot...

Un tremblement d’excitation envahi le corps de la jeune fille, et si son cœur battait toujours il serait sûrement monté jusque dans sa gorge tandis qu’il déposait un baiser sur ses lèvres. Elle savoura pleinement ce moment mais savait bien qu’Alessandro la charmait, rien de plus. Sa demande lui confirma ses doutes tandis qu’il la faisait valser d’une façon passionnée.

Lorsqu’elle eût le disque entre les mains, elle voulut lui demander de quoi il s’agissait mais elle n’eût pas le temps. Celui-ci l’embrassa de nouveau avant de la quitter. Elle sentit une bourrasque froide entrer dans son appartement avant qu’Alessandro ferme la porte. La Toréador se retrouva seul dans son studio, un CD mystérieux entre les mains. Une envie folle monta dans son corps et elle lança un coup d’œil à son ordinateur portable. Son maître ne lui avait pas dit de ne pas le regarder…mais sa fidélité prit le dessus sur sa curiosité et elle le cacha dans un sac de plastique qu’elle mit dans le réservoir de la toilette.

Puis, comme si rien ne s’était passé, elle ferma les rideaux et se blottit sous ses couvertures avec le roman de Stéphanie Meyer.

Raphaëlle dormis très bien durant toute la journée, dès que le soleil alla se cacher elle entendit un toussotement juste à côté d'elle !
Quelqu'un étais entrer dans sa chambre...!

La pièce était silencieuse sinon le toussotement qu'elle avais entendu.
Quand elle ouvrirais les yeux elle verrais nul autre que le Sénéchal, John Owen, assis avec une des chaise de la cuisine qu'il avais traîner jusque dans sa chambre à coucher.
L'air profondément ennuyer du Sénéchal était frappante, son regard froid et sévère la fixait avec intensité.
Droit comme une pique sur sa chaise, le Trémère gardais le silence.

Pour que le Bras Droit du Prince se déplace jusqu'à chez lui... en entrant par effraction, violant en partie une des règles de la Camarilla ; cela devais etre d'une grande importance !
John Owen est un homme de taille moyenne, les cheveux rasé de frais, la barbe mal rasé, des yeux bleu aussi froid qu'un glacier. Habillé d'une chemise et d'un pantalon noire, des souliers cirés et un manteau long chic. Si ce n'étais pas de son air bête... il pourrais sembler... sympathique...
Les mains croiser sur ses cuisses il semblais toujours attendre quelque chose de Raphaëlle.

Raphaëlle sursauta aussitôt qu’elle entendit ce léger toussotement. Elle se releva rapidement dans son lit en repoussant les couvertures. Elle était habillée d’une légère robe de nuit lilas très pâle et ne se recouvra rapidement d’un peignoir.

Elle resta silencieuse pendant quelques secondes, puis parla d’une voix rugueuse après des heures de sommeil :

« Que faites-vous ici? »

Pour que cet homme, qu’elle connaissait à peine mais qui était d’une importance extrême, rentre dans son appartement…il devait y avoir un problème. C’était une infraction tout de même.

Son visage resta marquer d'une profonde ennuie.
Il soupira, découragé, et leva un sourcil en dévisageant encore plus la Toréador.

- Qu'est-ce que ton Sir est venu te porter ? Il a voulut cacher quelque chose au Prince, nous le savons, alors je veux pas me répétez, tu comprend ? T'es pas retardé comme ton énergumène de créateur, non ? Tu sais ce qui en coûte de ce jouer du Prince, chère petite princesse ?

Il pointa un doigts accusateur vers elle, après son énumération de question. Il fronça des sourcils, la fixant dans les yeux.

- Pour avoir oser pensé cacher quelque chose au Prince, tu auras une punition mais pas autant que ton Sir qui risque de crever.

Son expression changea du tout au tout et il exclata de colère, se levant d'un bond avec une rapidité surnaturel, prenant d'une main la chaise sur laquelle il était assis et l'envoya d'un coup rageur et haineux contre la rambarde de lit aux pieds de Raphaëlle ; la faisant littéralement exploser sous le coup. Il y avais maintenant des morceaux de sa chaise un peu partout dans sa chambre... un des morçeaux alla rebondir près de sa tête, à un pouce de son visage.
- DONNE-MOI CE FOUTU TRUC OU JE T'ENVOIS VALSER À TRAVERS TA PUTAIN DE FENÊTRE ! JE TUERAI TON SIR RAPIDEMENT SI TU ME LE DONNE, MAINTENANT !!

La colère illumina ses traits lui donnant un air dangereux même sans sa démonstration de force plus tôt !
Elle savais que sans un réel motif il ne pouvais fouiller sa demeure, et puisqu'il ne semblais pas encore l'avoir fait il ne devais pas avoir de preuve assez évidente. Elle savais qu'elle pouvais recourir à ses droits sur son territoire... si elle le désirais elle pouvais lui demander de partir mais il étais quand même le sénéchal... peut-être suivrais-t-il les lois. Mais à la fois cela pourrait prouver son ''coupabilité'' à un truc dont elle ignorait tout !

La peur gagna Raphaëlle aussitôt qu’il leva le ton. Son corps en entier se raidit au son de sa voix sérieuse et presque effrayante. Mais elle se raidit encore plus en entendant sa chaise cassée à quelques centimètres d’elle. Pour qu’il se mette dans un tel état, la chose que lui avait donnée Alessandro devait être d’une importance capitale.

La dame se détendit, mais dans son pauvre cerveau tout se mélangeait et si son cœur pouvait battre, elle le vomirait sûrement. Lentement, ses muscles s’attendrirent.

-Sur votre respect, monsieur, vous avez du culot d’arriver ici dans MA demeure et de briser mes meubles, dit-elle sur un ton neutre.

La dame lança un regard vers la chaise qui était complètement ruinée.

-Pour ce qui est de mon maître, bien qu’il soit « attardé » il n’a pas déteint sur moi, continua-t-elle.

Raphaëlle décida de ne pas mentir…peut-être qu’ainsi elle pourrait négocier le sort d’Alessandro. Tout de même, elle préférait n’avoir aucun maître que de vivre une éternité de malheur…ou « mourir ».

-Mon maître m’a donné un objet, un cédérom, mais il ne m’a pas dit qu’il s’agissait de quelque chose qu’il cachait d’un Prince, il m’a juste dit de le cacher sans rien me dire à ce sujet, répliqua-t-elle. N’est-ce pas dans l’obligation des infants d’écouter leur maître et leur obéir. De plus, je suis toute « jeune » donc je voue ma vie à celui qui m’a créée.

Pendant qu’elle parlait, la Toréador marchait vers la cuisine où elle s’adossa au comptoir.

-Vous savez bien que vous ne pouvez pas fouiller ma demeure sans mon autorisation, et même y pénétrer…et en plus y casser des objets, elle prit une pause. Je vous donne l’objet, mais si jamais vous tuez pour maître je jure que je dicterai vos infractions au Prince.

- Il va crever pareil. Tu peux rien y changer c'est le Prince qui a décider, il nous manque juste le CD pour l'incriminer ; il a agis contre la Camarilla et le Prince. Alors décide-toi vite... tu nous le donne ou pas. N'essait pas de jouer à la maligne juste parce que tu es du même clan que notre Prince, tu as confirmer avoir ce que nous cherchons.

Sa voix était froide et son ton sec. Il ne semblais pas vouloir niaiser trop longtemps ici.
Il mis une main dans une poche et tendit l'autre devant lui, en attendant qu'elle lui remette le CD.
John détailla de haut en bas la Toréador, semblant la remarquer pour la première fois.

- T'es pas trop laide et conne finalement... peut-être que Alessandro à bien choisit pour une fois... ajouta-t-il, en haussant les épaules.

Raphaëlle sembla s’affaisser toute entière comme si elle avait mangé un coup trop puissant. Elle ne voulait pas la mort d’Alessandro, mais son plan n’avait pas fonctionné correctement. Mais…si c’était la loi du Prince elle ne pouvait rien y faire, même l’amour naissant qu’elle ressentait pour l’homme ne pouvait rien y faire.
Elle lança un regard frustré et plein de larmes vers le Sénéchal.

-Et moi, j’me retrouve seule à quatre jours de vie, bredouilla-t-elle en se rendant à la salle de bain.

La Toréador ignora le compliment de l’homme, de toute façon sa tête bourdonnait bruyamment. Elle revint de la salle de bain avec un sac Ziploc contenant un CD. Elle le remit au Sénéchal et s’affala sur son lit en fixant le plafond.

Un sourire en coin satisfait étira le visage lugubre de John Owen.
Il pris le CD et le cassa tout simplement devant Raphaëlle d'une torsion des doigts. Il chercha la poubelle et jeta les restes du CD, sans aucun regret.
Il posa une main sur l'épaule de la jeune vampire, son visage ayant toujours un air aussi sévère mais quelque peu plus chaleureux tout de même.
Il fit un geste vague de la main devant ses yeux, en parlant ;

- Tu as réussis le premier test, jeune fille. Le Prince est fier de toi, et moi aussi. On voulais voir si tu tenais plus à la Camarilla et au Prince, qu'à celui qui t'as créer... à qui allais ta fidélité, quoi.

Il frappa plusieurs fois dans ses mains en signe de félicitation.

- En récompense ; le Prince t'enseigneras un de ses petits tours de passe-passe avec tes propres pouvoirs. Si tu réussis le deuxième test ; tu deviendra son élève et peut-être plus un jour si tu écoute bien ce qu'il te dit. Est-ce que cela te convient ? demanda-t-il, d'un ton professionnel.

Raphaëlle regarda l’homme jeter le cédérom et ce sentit libérée d’un poids mais alourdie d’un autre : la mort de son maître était évidente. Puis, elle sentit la main froide mais « chaleureuse » de l’homme sur son épaule et elle leva ses yeux bleus sur un homme au visage presque amical. Lorsqu’il lui dit que tout cela n’était qu’un test, elle ne put s’empêcher de lâcher un long soupir accompagné d’un rire nerveux.
Un large sourire agrandit le visage anxieux de la jeune dame lorsqu’elle entendit sa récompense et tout son corps sembla se décrispé.

-Et bien, même après toute cette peur, je suis ravie d’avoir passé ce test, lui dit-elle. Cela me convient parfaitement!

Elle lui adressa un beau sourire légèrement recourbé de ses lèvres pâles et le remercia d’une voix calmée et douce.

Il lui tendit une lettre cacheté d'un sceau à la cire...
Le Sénéchal lui tapota gentiment l'épaule et lui fit une légère révérence avant de lui dit aurevoir et de prendre la porte.

La Lettre :

Ma Belle,
Désolé si j'ai dû envoyé la Bête pour voir si ta fidélité envers moi et la ville passait avant ton Sir, que je ne doute pas que tu aimes !
Tu dois avoir quelques questions mais John n'est pas là pour y répondre, il doit t'avoir dit que je désirais te prendre sous mon aile depuis que ton Sir m'a parler de tes fabuleux talents aussi prodigieux en si bas âge ! Je suis impressionné, je dois te l'avouer.
Avec moi tu apprendras plus qu'avec ton Sir, il a fait un merveilleux travail en découvrant en ta personne un de nos adepte qui deviendra des plus puissant j'en suis sûr.

Dans ta lignée nous trouvons des vampires d'exceptions, et je ne doute pas qu'un jour, peut-être, tu puisse me surpasser. Alors tu devras travailler fort et tu verras les portes du Paradis s'ouvrir devant toi et voir tes possibilités se multiplier à ta volonté.
Sois ma disciple, s'il te plait. Cela me ferais vraiment plaisir d'enseigner mes secrets à quelqu'un comme toi.

Il y a cependant une seconde épreuve, plus comme une mission, que tu devras accomplir avant que je puisse t'ouvrir tout mon savoir. Viens me voir demain après la réunion à l'Élysium pour que je puisse t'en parler plus amplement, ce ne sera pas facile et tu devras être prête à entreprendre l'aventure dès ton arrivé.

*signé de la main du Prince.*

Tout en lisant la lettre du Prince, un sourire pétillant s’étira sur les lèvres de Raphaëlle qui morte d’inquiétude quelques secondes avant, était tellement rassurée maintenant. Un soupire échappa à ses lèvres tandis qu’elle se laissa retomber sur son lit.

La lettre était encourageante en soit, mais elle était joyeuse d’avoir sauvé sa réputation. Être la disciple du Prince…belle façon de passer l’éternité. Raphaëlle glissa la lettre sur sa table de nuit et se leva pour s’habiller. La femme s’habilla d’un pantalon noir simple et d’une camisole bourgogne recouverte de petites perles dorées.

- Bon, qu'est-ce que je peux faire aujourd'hui? se questionna-t-elle en attachant un léger collier en or dans son cou.

HRP : Erreur de ma part -_-'
La lettre disais plutot... viens me voir ce soir, après la réunion a l'Élysium... donc ce soir !
Le Conteur était mélangé, désolé.

(Aaaaah…ça change tout!)

Raphaëlle, excitée comme une puce qui tentait à tout prix de garder ses émotions renfermés, enfila son manteau rapidement pour se rendre à l’Élysium. Puisqu’elle ne savait pas à quelle heure commençait ni finissait cette réunion, elle y serait tout de suite. De toute façon, elle s’ennuyait à mourir ici.

La femme descendit les escaliers rapidement, sauta dans sa voiture et se rendit à l’Élysium.

(Je sais pas comment on se débrouille à partir de maintenant et comment tu veux appeler le sujet…donc tu décides.)